Au début, il y a une histoire de génétique. Prenons par exemple une poule Coucou de Rennes qui pondra 160 œufs en moyenne par ans alors que la poule gasconne en pondra elle en moyenne 200. Il est donc inutile au-delà de stimuler une poule quand elle a atteint ses capacités maximums de ponte.

La ponte dépend d’autres différents facteurs :

L’éclairage :

Plus les jours sont longs, plus les poules pondent ! En hiver les jours sont plus courts, il est donc normal d’avoir moins d’œufs. On pourrait afin de stimuler les volailles, installer dans le poulailler une lampe pour augmenter artificiellement la longueur du jour.

La chaleur :

Une même lampe si elle est chauffante augmentera aussi de quelques degrés la température ambiante du poulailler.

L’alimentation :

Les deux premiers facteurs, lumière et chaleur, ne seront pas utilisés au poulailler amateur bio pour augmenter la ponte. On conserve le cycle biologique naturel des poules, un repos bien mérité !

Par contre il est un facteur sur lequel l’éleveur amateur va pouvoir intervenir : c’est l’alimentation.

Proposez à vos protégées durant cette période une nourriture plus riche, composée de belles et bonnes pâtées, d’un mélange de grain (blé, maïs concassé, orge), de reste de table.

Apportez-leur des vitamines sous forme de graines germées par exemple.

Même, en hiver laissez les poules gambader et glaner de la nourriture sur leur parcours où elles pourront bénéficier des indispensables bienfaits du soleil.

 

Attention, une infestation par les poux rouges peut avoir un effet sur la ponte.

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